octobre 2024

Communiqué
Les papiers peints de demain /Le plancton
6 octobre 2022

Les papiers peints de demain sont une série d’œuvres de Diane Gougeon développées autour de réflexions sur la nature dans le contexte de la crise climatique, ainsi que sur l’intégration de l’art dans les espaces publics. À l’aide de papiers-peints créés numériquement, imprimés et adaptés aux lieux qui les accueillent, l’artiste engage les spectatrices et spectateurs sur des enjeux tels que l’extinction des espèces, le réchauffement de la planète, la pollution atmosphérique, etc. Grâce à des marqueurs de réalité augmentée imprimés directement dans les œuvres, le public est invité à accéder à du contenu sonore à partir de leurs appareils mobiles.

La proximité géographique du fleuve St-Laurent inspire le phytoplancton comme motif principal du papier-peint présenté ici. Ce petit organisme, invisible à l’œil nu, est omniprésent dans les cours d’eau et joue un rôle essentiel dans la chaine alimentaire ainsi que pour la production d’oxygène. On le retrouve sous différentes représentations tirées d’images de microscope et d’illustrations, notamment celles du célèbre ouvrage Formes artistiques de la nature du botaniste Ernst Haeckel, publié à la fin du 19e siècle. À cette époque, il était difficile d’imaginer que la vie dans les océans serait un jour affectée par les sons et vibrations des navires, des moteurs et des sonars. Aujourd’hui, les scientifiques estiment que les pêcheries, la défense militaire et la prospection sous-marine causent un dérèglement des écosystèmes, par les bruits qu’ils produisent et la pollution qu’ils génèrent, contribuant du même coup au réchauffement climatique. En écho à ces réflexions, les sons à découvrir proposent une incursion dans la vie aquatique, entre la nature sauvage et les activités humaines.

Cette exposition est présentée en collaboration avec la Ville de Longueuil.

Six autres papiers peints originaux seront également dévoilés cet automne dans différents lieux d’exposition.

 

 

 

février 2020

Vitrines Daigneault-Schofield / 15 décembre – 15 février

Exercice intéressant que d’occuper ces deux vitrines d’une ancienne mercerie. Elles sont plus larges que hautes ; des dimensions qui exigent une adaptation du travail. C’est maintenant démonté. On peut également voir  un panoramique dans la section « vidéos ».

septembre 2018

Expo bénéfice 2018 / CIRCA
22 sept. – 13 oct.

Voici l’oeuvre qui sera mise en vente au bénéfice du centre CIRCA. Intitulée « Nous en sommes ici_2018 » , la photo du paysage a été prise en avril dernier avenue du Cosmodôme à Laval.

septembre 2015

Résidence centre Sagamie/
28sept.-3oct.

Du 28 septembre au 3 octobre

J’y poursuivra mon travail autour de deux ensemble d’images que je collecte depuis 3 ou 4 ans déjà. Des arbres dont la silhouette a été tranformée par le passage de fils électriques ou la proximité de bâtiments et des surfaces de neige salie et présentant des motifs causés par les fluctuations de la température.

 

 

septembre 2015

Encan bénéfice / Plein sud
24 septembre

Pour ma participation à l’encan de Plein sud, j’ai finalement opté pour Neige/Snow, image réalisée en 2013. Il d’agit d’un tirage Lambda sur Duratrans présenté dans un boîtier lumineux afin de transmettre toute la richesse et profondeur des couleurs de cette neige salie de fin d’hiver.

Cette image fait partie d’une série.

janvier 2015

Nouvelle publication
Diane Gougeon

Lancement de la nouvelle publication de Diane Gougeon à la galerie Joyce Yahouda. Catalogue d’exposition bilingue, textes de Reilly Bishop-Stall et de Marie Perrault. Éditions Plein-sud

Vernissage
Samedi 28 mars, 16h – 18h

août 2014

Nouveau tournage/
PFFUIT! le film

Dans la nouvelle galerie d’Occurence, on a remonté l’installation PFFUIT!  afin de la documenter encore une fois en vidéo et aussi pour reproduire en accéléré la lente descente des ballons au sol grâce à une capture image par image.

février 2014

Art souterrain 2014
Une réédition
de l’installation Les Iris

J’ai été invitée à présenter Les Iris (2001) pour l’édition 2014 de Art Souterrain. Je suis contente, car j’aurai l’occasion de résoudre le problème du liquide qui circule dans le système. L’œuvre, 13 ans plus tard,  vit bien.